"Sous le même toit" de Jojo Moyes

Publié le par Nathalie

"Sous le même toit" de Jojo Moyes

"Sous le même toit" est le sixième roman de Jojo Moyes que je lis et le cinquième sur lequel j'écris une chronique (voir ici).

4ème de couv' :"Lorsque son mari meurt sans crier gare, lui laissant une montagne de dettes, Isabel Delancey doit radicalement changer de train de vie. Elle n’a d’autre choix que de déménager avec ses deux enfants pour s’installer à la campagne, dans une maison de famille délabrée. Tandis que les murs s’effritent autour d’eux, et que ses dernières économies fondent comme neige au soleil, Isabel espère pouvoir compter sur le soutien de ses voisins. Elle ne se doute pas que sa simple présence au village a réveillé de vieilles querelles... Les vies s’entrechoquent, et Isabel va découvrir que faire de cette maison le « home sweet home » dont elle rêve est un combat de chaque instant."

Je dois avouer que cette lecture de vacances m'a fait passer quelques instants agréables en compagnie d'Isabel et de ses enfants, Kitty et Thierry, mais je suis loin du degré de satisfaction que j'ai pu ressentir lors de la lecture du roman qui m'a fait découvrir Jojo Moyes, "Avant toi".

J'ai, en effet, trouvé cette histoire moins accrocheuse que celle de Louisa car un peu plus "cucul la praline". Pauvre Isabel qui ne sait rien faire de ses dix doigts à part jouer du violon avec virtuosité !! Le début du livre m'a donc déplu car j'ai beaucoup de mal avec les héroïnes mièvres et mollassonnes. Heureusement, dans un second temps, Isabel a enfin retroussé ses manches et plongé ses blanches mains dans la terre et le cambouis pour assumer sa famille. Et là, j'ai commencé à prendre goût à l'histoire...

Mention spéciale au personnage de Byron qui est vraiment très sympa, entre force et faiblesse, et au couple d'épiciers, les cousins, qui ont un côté décalé et pittoresque.

Note : 3/5

Passage choisi :"– Je n’ai pas de bonnes nouvelles à vous annoncer.
Isabel eut presque envie de rire. Mon mari est mort, pensa-t-elle. Mon fils est encore sous le choc et s’enferme dans le mutisme. Ma fille a vieilli de vingt ans en neuf mois et refuse d’admettre que les choses vont mal. J’ai dû renoncer à la seule chose que j’aime faire, à la seule chose à laquelle je m’étais juré de ne jamais renoncer, et vous croyez pouvoir m’annoncer de mauvaises nouvelles ?"

Publié dans Jojo Moyes

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