Central Park de Guillaume Musso

Publié le par Nathalie

Central Park de Guillaume Musso

Livre vite lu en ce dimanche où le soleil a daigné montrer le bout de son nez. Un peu de chaleur, un transat sur une terrasse, le dernier Musso et voici un moment sympa et pas prise de tête...

Voici ce qu'on peut lire en 4ème de couv' :

"Alice et Gabriel n’ont aucun souvenir de la nuit dernière…
… pourtant, ils ne sont pas près de l’oub
lier.

New York, huit heures du matin.
Alice, jeune flic parisienne, et Gabriel, pianiste de jazz américain, se réveillent menottés l’un à l’autre sur un banc de Central Park. Ils ne se connaissent pas et n’ont aucun souvenir de leur rencontre.
La veille au soir, Alice faisait la fête avec ses copines sur les Champs-Élysées tandis que Gabriel jouait du piano dans un club de Dublin.

Impossible ? Et pourtant…

Les questions succèdent à la stupéfaction. Comment se sont-ils retrouvés dans une situation aussi périlleuse ? D’où provient le sang qui tache le chemisier d’Alice ? Pourquoi manque-t-il une balle dans son arme ?
Pour comprendre ce qui leur arrive et renouer les fils de leurs vies, Alice et Gabriel n’ont pas d’autre choix que de faire équipe. La vérité qu’ils vont découvrir va bouleverser leur existence…

Un suspense magistral qui vous happe dès les premières pages pour ne plus vous lâcher.
Deux personnages inoubliables, emportés de surprise en surprise.
Une lecture intense, additive, irrésistible."

Comme d'habitude, Guillaume Musso a su trouver une histoire prenante qui embarque la lectrice/le lecteur dès les premières pages. On veut suivre Alice et Gabriel dans leurs aventures pour savoir quel dénouement l'auteur nous a, cette fois encore, réservé. Un livre détente qui occupe de façon sympathique quelques heures. Si vous n'avez pas le temps de lire en ce moment, gardez-le pour cet été quand vous serez sur la plage ou au bord d'une piscine. ;-)

Note : 3/5

Passage choisi : "Alice Schäfer ouvrit les yeux avec difficulté. La lumière du jour naissant l’aveuglait, la rosée du matin poissait ses vêtements. Trempée de sueur glacée, elle grelottait. Elle avait la gorge sèche et un goût violent de cendre dans la bouche. Ses articulations étaient meurtries, ses membres ankylosés, son esprit engourdi.
Lorsqu’elle se redressa, elle prit conscience qu’elle était allongée sur un banc rustique en bois brut. Stupéfaite, elle découvrit soudain qu’un corps d’homme, massif et robuste, était recroquevillé contre son flanc et pesait lourdement sur elle.
Alice étouffa un cri et son rythme cardiaque s’emballa brusquement. Cherchant à se dégager, elle bascula sur le sol puis se releva dans le même mouvement. C’est alors qu’elle constata que
sa main droite était menottée au poignet gauche de l’inconnu."

Publié dans Guillaume Musso

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