"Comment braquer une banque sans perdre son dentier" de C. Ingelman-Sundberg
Livre acheté à cause de sa couverture colorée, de son titre loufoque et de la phrase du magazine ELLE écrite sous l'illustration : "Une cavale en forme de fête permanente, qui rafraîchit comme un vent de liberté."
4ème de couv' : "Ils sont trois femmes, deux hommes : Märtha, Stina, Anna-Greta, le Génie, et le Râteau, chacun 80 ans au compteur. Ils chantent dans la même chorale et dépérissent dans la même maison de retraite à Stockholm. Nourriture insipide, traitement lamentable, restrictions constantes, pas étonnant que les résidents passent l’arme à gauche…
Ils ne vivront pas un jour de plus dans ce mouroir. Un brin rebelles et idéalistes, les cinq comparses décident de se lancer dans le grand banditisme. Avec leurs cheveux blancs et leurs déambulateurs, ils s’apprêtent à commettre le casse du siècle. Mais l’aventure s’emballe et rien ne va se passer comme prévu…"
Ce roman m'a un peu fait penser au "Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire" de Jonas Jonasson (ici) à cause de l'âge des personnages et de l'envie de révolte qui les habite mais j'ai moins accroché cependant. Il y a de l'humour, un peu d'action mais globalement j'ai trouvé que le récit traînait en longueur. Pourtant l'idée de départ de 5 petits vieux qui s'ennuient dans leur maison de retraite et qui veulent pimenter leur vie était plus qu'intéressante. Dommage que l'auteur n'ait pas su plus me captiver !!!
Note : 3/5
Passage choisi : "Elle décida de diminuer la dose de cachets. Au bout de quelques jours, elle se sentit déjà plus alerte. Elle reprit le tricot et, elle qui avait toujours adoré les polars, recommença à dévorer les histoires de meurtres horribles qui s'entassaient sur sa table de chevet. L'envie de révolte revenait."